Mararthon New York

bravo arnaud, on va t'appeler l'horloge suisse !

en tout cas, tu as gagné ta pancarte :

C'est ce qu'on appelle du travail bien fait !!!
A croire qu'il s'arrêtait avant les points de contrôle pour respecter son tableau de marche !

Méga félicitations Arnaud. On attend le compte rendu maousse costaud !

félicitations arnaud

belle performance, 3ème marathon et encore meilleure performance

les conseils de patrick sont les bons et ton application est la bonne

bravo et encore bravo

Merci pour les félicitations. Je suis fier comme un américain de ma pancarte . Je me laisse 24 h pour vous raconter tout çà. A+

Je viens de vous faire mon compte rendu qui vient de s'envoler dans les méandres de la sphère internet. Trop fatigué pour refaire ce soir. Je vous refais çà demain soir. Sorry. A+

Fait ton compte rendu sous word.
Après tu selectionne tout le texte et tu le copie sur le forum.
Tu peux ainsi envoyer ton post dans la foulée sans perte de données qui font

Euuuh, on n'a pas le droit au CR qui va bien ?
T'es en plein jet lag ? Out of order ?

J'ai refais mon CR hier soir mais pas sous Word. Seconde volatilisation en 2 soirs. Je recommence ce soir sous Word cette fois, si j'y arrive. Je suis vraiment très nul en informatique, cette fois c'est sûre. A+

pourvu qu'on l'ait avant ton prochain marathon...

arnaud a écrit:

J'ai refais mon CR hier soir mais pas sous Word. Seconde volatilisation en 2 soirs. Je recommence ce soir sous Word cette fois, si j'y arrive. Je suis vraiment très nul en informatique, cette fois c'est sûre. A+

Attention Arnaud, si tu continues comme ça on risque de te retirer ta pancarte !

Non mais des fois...

NON pas çà , oh grand maître de la pancarte, je ferais tout ce que tu veux, laisse moi un peu de temps. Merci Oh grand maître...........

Il court vite mais il ecrit lentement

New York, New York
Arrivée mercredi 16h30 à Kennedy Airport sans encombres.
A 20h30 nous étions déjà au sommet de l’Empire State Building et cette première vue de nuit de New York donnait le départ de mon premier marathon car je pense sincèrement avoir fais 2 marathons en cinq jours de temps.
Après avoir dit bonjour à la statue de la liberté, vue quelques beaux tableaux au MOMA et à Gugheniem museum, refais un tour de réservoir avec Dustin, descendu, puis remonté puis descendu, puis remonté la cinquième avenue, Brodway et les rues qui les croisent, je me pose samedi soir avec la désagréable sensation d’avant match que vous connaissez tous. Je m’endort pas si mal que cela et me réveille à 4 h du mat frais comme un gardon. Petit dej à 4h30 avec Jean Yves et départ en bus pour Verrazzano bridge vers 5h30. Arrivée vers 6 h15 dans le parc à bipèdes et là commence une longue et frisquette attente. Engoncé dans mon sac plastique 100 L noir, j’alterne café, gatorade, café, gatorade, pipi, banane, café, gatorade, pipi où les latrines américaines dégagent la même odeur qu’ici.
9 h 40 départ de notre vague. Hymne Américain puis New York, New York de SINATRA à fond les bananes avec les hélicos qui tournent au-dessus de nos têtes, l’image restera longtemps gravée dans ma petite tête.
L’ambiance est fantastique et les encouragements fusent de part et d’autre des avenues. Il est très difficile de ne pas s’emballer à ce moment de la course. Je trouve d’ailleurs à cet instant une jolie hollandaise, bien en rythme, que je décide de suivre pendant quelques miles. Je la laisse au km 20 environ et tente de conserver ma régularité le plus longtemps possible. Même si je n’ai pas eu l’impression d’avoir eu le mur du 30, je souffre beaucoup dans les derniers kms. Arrivée à Central Park avec une foule digne d’une étape de montagne du Tour de France, je tente d’accélérer pour passer sous les 3h20. Mon chrono affiche 3h19’30 et la ligne d’arrivée approche à grand pas. 29, 28, 27, 26 je décompte les secondes dans ma tête mais rien n’y fera, je ne passe pas en moins de 3h20. La médaille autour du coup, les encadrants tout d’orange vêtus ne cessent de te congratuler. GOOD JOB MAN, very good job, et la tout seul comme un pauvre quidam, de bonheur, de douleur ou d’émotion je crois bien que j’ai versé ma petite larme.
J’espère qu’un jour vous entendrez GOOD JOB MAN. A+