En ce qui concerne la prépa, je fais beaucoup de km, mais plutôt en faisant de nombreuses petites sorties, 40' le matin et 40' le soir (8km trajet boulot/maison), 2 ou 3 fois/semaine + 1 sortie le Dimanche.
Les sorties longues du Dimanche c'est seulement 1 ou 2 mois avant l'échéance, et il faudrait se forcer à les faire à vitesse lente, voir marcher dans les côtes difficiles, sans fractionner, le fond c'est le secret de ces ultras !
Pour la SaintéLyon, avec un temps de 7 h 36, je m'oblige à marcher dans toutes les côtes importantes jusqu'à Ste Catherine, ce qui m'a permis de finir la course en courant, dans un bon état musculaire et articulaire (l'état digestif était indépendant de l'effort, car présent dès le début de la course).
Mais bon, moi c'est ma méthode, mais pas forcemment celle qui va à tout le monde, et comme ralentissor l'a dit, je n'ai que la CAP à travailler ![/quote]
Salut Gilles,
Je suis d'accord avec tes remarques et celles de Ralentissor.
J'ai préparé ce SaintéLyon en me disant que c'était comme faire trois trophées M. Zahn de suite ......
Je me suis flingué les muscles a l'entrainement en me forcant à passer tous les murs de mes parcours au pas de course. Disons que j'aurais été mieux préparé si SaintéLyon avait eu lieu début Novembre. Parce qu'après en voulant trop en faire je me suis juste abimé les tendons.
En CAP, trop en faire, ca ne pardonne pas. En vélo, tu ressens de la fatigue mais tu arrives toujours à embrayer car musculairement c'est beaucoup moins traumatisant. En CAP, dès qu'un muscle va mal tu peux plus dépasser les 10 à l'heure.
Reste maintenant à savoir si j'aurais la patience et l'envie de retenter une épreuve ultra de CAP. Parce qu'aussi bien en vélo qu'en CAP, je ne peux pas me résoudre a faire une sortie sans faire monter les pulsations ...
A+